Notre syndicat est affilié à la Fédération des enseignantes et enseignants de Cégep (FEC) de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ). La vie syndicale fédérative s’est amorcée le 3 octobre dernier par la tenue du premier conseil général de l’année. Le conseil général est l’instance principale de la Fédération et c’est lors de ces rencontres que les différents syndicats affiliés donnent les orientations pour la conduite des affaires syndicales.
Lors de ce dernier Conseil général, le principal dossier était l’adoption du cahier des demandes syndicales pour la prochaine négociation.
Après des mois de consultations et d’échanges entre les membres des différents syndicats et la fédération, on peut dire que ce dépôt syndical est le fruit d’un travail sérieux et rigoureux. Avant de procéder à ce dépôt syndical, les délégations des treize syndicats membres de la FEC-CSQ s’étaient donné rendez-vous à un conseil général les 3 et 4 octobre, afin de faire à la fois un bilan des dernières consultations et d’adopter le cahier final de nos demandes syndicales.
Ainsi, nous avons pris connaissance des résultats de la consultation auprès des membres des syndicats affiliés et par la suite nous avons adopté nos demandes finales. Avant de procéder à ce dépôt syndical, les délégations des treize syndicats membres de la FEC-CSQ s’étaient donné rendez-vous à un conseil général les 3 et 4 octobre, afin de faire à la fois un bilan des dernières consultations et d’adopter le cahier final de nos demandes syndicales
Si tout se déroule dans le respect de la loi régissant les négociations dans le secteur public, nous devrions connaitre leurs réactions à la mi-décembre, soit 60 jours après le dépôt de nos demandes syndicales.
Enfin, le Conseil général a aussi validé le plan d’action pour le dépôt des demandes syndicales à la partie patronale qui s’est tenu le 16 octobre dernier.
Rappelons que les grands thèmes de la négo 2020 sont :
- une tâche enseignante plus réaliste et des conditions de travail plus humaines;
- une meilleure sécurité d’emploi;
- l’obligation, pour les collèges, d’adopter de véritables mesures de conciliation famille-travail;
- la reconnaissance de notre expertise disciplinaire et le respect de notre autonomie professionnelle;
- la prise en compte de l’impact du virage numérique sur la tâche.